Le pourquoi de mes chroniques économiques

Il faut trois dimensions pour avoir un relief. De la même manière, JANUS base sa conception de la politique communale sur les trois dimensions de la vie communale (économie, social, culturel) pour donner plus de relief à la vie de la ville.

Je lance donc une rubrique "chronique économique" afin de vous expliquer au travers de mes différents messages, comment Cogolin pourrait dynamiser son économie dans le contexte locale et dans le contexte global.

Au fil du temps qui nous sépare de l'échéance électorale municipale, je vous ferai part au gré des différentes chroniques économiques, de mon analyse personnelle, de ma conception du développement économique de Cogolin et du territoire des cantons de Grimaud et de Saint-Tropez, car ne l'oubliez pas nous serons bientôt dans l'intercommunalité. 1 avec 11 et non pas contre!

Mettez bien en mémoire mes slogans :
- "Un pour tous et tous pour un"

- "Mettons en commun ce que l'on a de meilleur et enrichissons-nous de nos différences mutuelles"

- "Plutôt que de te demander ce que le pays peut faire pour toi, demande-toi ce que tu peux faire pour le pays"

Transformez ces citations en leitmotivs car elles sont et seront de plus en plus d'actualité malgré leur âge!

Vous allez penser que mon analyse du contexte général est pessimiste. En effet, mais elle est pour moi réaliste. Votre vie, votre entourage, et l'actualité au fil des mois et années, vont probablement la confirmer.
Quel rapport avec Cogolin, allez-vous me demander. . Beaucoup! Je vous les expliquerai dans mes chroniques économiques.
Cela veut dire qu'il y a des prévisions, des grandes lignes qui sont tracées, des lois, qui permettent de cerner les grandes orientations à court et moyen terme. Donc, dans ce cadre quel choix faut-il donner à la politique cogolinoise pour affronter au mieux le futur perturbé qui s'annonce.
JANUS est persuadé que les priorités à donner aux investissements communaux et intercommunaux doivent changer. Nous verrons si la gouvernance en place a pris conscience de cela au fil de ses choix budgétaires, année après année.
Nous ferons le bilan en 2013 pour savoir si vous préfèrerez choisir en 2014 un gérant qui garde son nez dans le guidon face au mur ou choisir quelqu'un qui voit au-delà du mur pour mieux anticiper… CQFD!
JANUS pense qu'il y a deux parties dans la gestion d'une commune.

- La première, que n'importe quel maire, de n'importe quel couleur politique, est capable et en devoir de tenir. La gestion au quotidien de la vie d'une commune : propreté, éclairage, réparation, sécurité, etc.

- La seconde, qui est celle de l'ambition, du futur, du projet ou plan de développement de la commune.
C'est dans cette partie de la politique que se différencie Pierre, Paul, Jacques et compagnie…
Quand JANUS fait le bilan des deux mandats et demi de la gouvernance actuelle, il ne voit pas quelle est l'ambition pour Cogolin, il ne distingue pas le projet de développement pour Cogolin…
Si vous en voyez un, faites-moi le savoir afin que je puisse améliorer mes capacités à percevoir le cap choisi par une équipe gouvernante.
Je perçois la première partie de la politique. Renouvellement, voirie, embellissement, etc. Je ne porte pas de jugement sur ça car je le répète, Pierre, Paul, Jacques et compagnie savent tous le faire. C'est le basique de la vie d'une commune.
Moi, ce qui m'intéresse, c'est dans quel but. C'est le plan qui soutient tout ça, c'est le projet qui désire faire de Cogolin ceci ou cela, ce sont les investissements pour que ceci ou cela, c'est de préparer ce qui va se passer demain, etc… Et ça, je m'excuse mais je ne le distingue pas dans les lignes budgétaires communales ou si peu!

Je vous donne donc rendez-vous pour mes chroniques économiques dans lesquelles vous pourrez vous rendre compte que JANUS n'a pas une langue de bois, qu'il se différencie des gérants politiques classiques en étant beaucoup plus explicite qu'eux sur ce qu'il souhaite faire pour sa commune.
Pourquoi, parce que JANUS est persuadé qu'un projet de ville est plus facile à mettre en œuvre quand sa population l'accepte. Et qu'une population accepte d'autant mieux un projet qu'on lui explique les tenants et les aboutissants de ce dernier.

JANUS

 

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